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That's our New Eden, boy... PLUS 18 EN FAIT BITCH

 :: — Clan Noé — :: Arche de Noé
Sam 22 Aoû - 14:50
Franchis la porte, et fais briller le nouvel Eden, en cet ville blanche aux rempart noirs..
Les rues s’ouvrant devant vous sont claire, libres et éclairé d’une lueur printanière. Tout est paisible, comme si aucun événement disgracieux ne se passait en son sein. La ville de Dieu s’étend sous vos yeux, suspendue dans le temps, loin des hommes et de leur déshonnête destruction.

Tu passes les bras à son cou, observant avec amour ce lieux dont tu as la responsabilité et la permission partagée avec ton Prince, où se trouve quelque part une pièce secrète et close, où résonnent encore la mélodie du 14ème, errante parfois dans les petites rues serpentines et tourbillonnante, labyrinthe des souvenirs de vos innombrables vies.. 
Ta joue se presse, ta main se lève un instant alors qu’un des murs offre la naissance d’une porte vers l’intérieur de votre repère d’Apôtre et tu descends doucement de ses bras, reposant pieds à terre et tendant la main vers lui. 

 Bienvenue à la maison, Might.. »
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Road Kamelott
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Road Kamelott
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Road Kamelott
Sam 22 Aoû - 14:55
La lumière était éblouissante, douce, agréable, à l'image du panorama qui s'offrait à moi. Tout n'était que bâtiments d'un blancs immaculé, rues pavée sans la moindre trace de déchets, vide de toute populace, de tous badauds malpropres et grossier. Si le paradis devait ressembler à quelques chose, si du moins il existait, cela ne pouvait qu'être à cet endroit magnifique. Avec douceur, toujours fasciné par le décor alentour, je déposais la reine des rêves sur le sol avant de lui offrir un sourire éblouissant. Je n'aurais jamais cru que l'arche aurait pu me manquer un jour, moi qui détestais tant être enfermé, et pourtant revoir cet eden éveillait en moi le doux sentiment nostalgique, propre à ceux parti d'un long voyage, enfin de retour à la maison.

« Je suis heureux d'être enfin de retour, surtout que ... »

Je levais ma main et caressa doucement la joue de Road, sans cesser de sourire. Pour l'une des rares fois de mon éternité, j'étais heureux, un état de liesse dans lequel je ne m'étais jamais trouvé auparavant. J'avais tout dit, et elle l'avait accepté, ce qui m'avait tant effrayé durant des années, cette faiblesse, cette impuissance, était aujourd'hui dissipée pour laisser place à un bonheur absolu. Je savais au plus profond de moi même que rien ne pourrait jamais me retirer ça … Même si mon esprit me chuchotait encore que tout ceci était trop beau pour être vrai. Allais je bientôt connaître le reveil douloureux suivant un rêve bien trop appréciable ?
Quand bien même, il me suffirait d'en faire une réalité.

« ... Je n'ai jamais été aussi heureux de rentrer. »

Mon index et mon pouce attrapèrent son menton tandis que je me penchais en avant pour presser mes lèvres contre les siennes. Elles étaient si douces … je ne m'en lasserais jamais, trop d'années passées à attendre et a espérer, je ne la lâcherais pas à présent. J'eus un petit sourire avant de le rompre tout de même, quelques minutes plus tard. Nous aurions tout notre temps à présent, l’éternité devant nous … Et après ces siècles de patience, je pouvais céder quelques instants de nos existences pour régler les quelques problèmes de base qui se posaient.

« Où sont les autres ? Est ce qu'ils vont bien ?»

Notre famille était presque au complet, c'est elle même qui l'avait dit … Qui manquait il après ce tragique fratricide ? Bondom? Desires ? Tryde? Mercym ? Fiddler ? Wisely ? Qu'étaient devenus mes amis et mes frères et sœurs ? J’espérais que je n'allais pas tarder à le savoir. Mes pensées dérivèrent un court instant vers notre Prince. Comment allait il, après ces trente cinq années ? Mieux, je l’espérais … peut être avait il eu le temps de digérer cette trahison, et qu'il me laisserait tuer Neah.
De mes propres mains.

Mais pour le moment, je me contenterais de peu. Quelques instants en compagnie de celle que j'aime dans ce petit paradis … Cela ma suffisait amplement, je ne pourrais rien demander de plus.
Aussi lui fis je un grand sourire en la serrant d'avantage contre moi, mes bras enroulés autour de son dos.

« Peux tu me faire visiter ? Cela fait longtemps »
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Dietrich von Rozenkreuz
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Dietrich von Rozenkreuz
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Dietrich von Rozenkreuz
Sam 22 Aoû - 14:59
De nouveau son odeur enivrante nage autour de toi, aura protectrice qui te fais enfin te sentir réellement chez toi. Peut-être est-ce la même nuance qui fit basculer le Prince en dehors de son chemin de raison...l’absence de l’être tant aimé à ses cotés..comme celle qui poussa Néah a agir. La crainte de la voir disparaître.

Tes pieds de nouveau au sol, ton nez retrouve la paume si douce du tueur fou, qui avec toi n’est qu’un chevalier impie poursuivant des dragons impitoyable de brutalité et de stupidité. Des choses qui ne devrait être selon Ses plans..ses mots résonnent..ravissants, heureux..comme cela faisait longtemps qu’une telle expression ne s’était mariée avec son nom. 
Might et la Réalité entière du monde, ne faisant plus qu’un, en toute vie. Sous son baiser, tu fermes les yeux..embrasse son visage , ses lèvres des tiennes..le rêve se fond dans votre réalité, dans cette arche de délivrance créée pour vous. Parfaite en sa totale harmonie.

Tu te blottit en son sein, respirant profondément contre son torse, agrippant le tissus recouvrant son corps. La dernière fois que tes poings s’étaient ainsi refermés dans son dos, ce n’était que pour saisir les derniers écho de son cœur déjà éteint..le déchirement qui sans le Prince t’aurai à toi aussi ôté toute raison et toute vie. Et pourtant tu ne pouvais le haïr..

Vos cœur battent enfin ensemble, dans ce dernier chapitre de l’Apocalypse, termes tant déformés par cette population détraquée d’Adam et Ève, déformée...enfoncée dans leur destruction, et le mal qu’ils causent en cette Terre. Vous traite t-on d’assassin ?...Ce n’est qu’un manque de recul..ils sont des milliards, et vous si peu. Une famille seule peut-elle être tant pire que l’Humanité ? Voyez donc ce gâchis et cette mauvaise foi...


Sa voix questionne le destin des siens, en toute fraternité, Depuis ce jour si triste ou ils périrent nombreux, il est légitime que la question traverse ses lèvres, mais oui, presque au complet,,ils sont encore quelques un en route pour vous rejoindre et percer en cet acte final.
Tu presses le visage contre lui, inspirant, avant de reculer d'un pas, plongeant tes yeux énamouré dans les siens, reculant vers une porte qui , fut-il un clignement de paupière précédent, n'existait pas encore..


« Nous irons où tu le désire, Might...une préférence ? »


Et tu souris, bienheureuse, comme l'invitant à une nouvelle valse, coordonnant vos pas , tout deux vivants..vers cette porte qui n'est destinée qu'à vous, première depuis des millénaires.
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Road Kamelott
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Road Kamelott
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Road Kamelott
Sam 22 Aoû - 15:00
Mon regard mordoré ne pu quitter ceux de la reine des rêves, alors même qu'elle m'invitait à la suivre dans cet havre de paix et de repos. Où je le désire ? La réponse était tellement simple qu'elle m'en paraîssait évidente, et il ne me faut que quelques instants pour franchir le pas qu'elle venait de faire pour attraper sa si petite, sa si gracile main dans la mienne et la serrer doucement, comme si j'avais peur qu'elle s'en aille, qu'elle m'abandonne en disparaissant à jamais.

Un peu comme je l'avais fait

Ma main se crispa légèrement à cette pensée. Qu'aurais je du faire ? Me battre, me dresser contre mon frère tant jalousé, au risque de briser le cœur de celle que j'aime ? Je ne pouvais me le permettre. Moi, le duc fou, le meurtrier sans scrupules, celui qui avait scandé la fin du monde sous une pluie de cendres m'était laissé abattre par amour, pour obéir à ces pulsions primales qui se rependaient en battements et qui faisaient vibrer mon corps. Je n'aurais pu esquisser le moindre geste pour me défendre, à cette époque, mais si j'avais su qu'un jour, la belle m'aurait accepté, qu'un jour se serait moi qui la tiendrait dans mes bras, qui lui murmurerait ces mots qui me brûlaient la gorge, alors …

… Peut être les choses auraient été différentes, peut être me serais je battu, peut être aurais je gagné, peut être même n'aurais je pas eu à attendre trois décennies de plus pour presser mes lèvres sur celles de Road Kamelott. Qu'en sais je ? Le mal était fait, et à présent j'étais bien décidé à jouir de ces instants d'éternité volés à un Dieu trop lâche pour nous affronter en face.

Alors quand la porte apparu, je ne pus résister à la tentation de la serrer contre moi, de la soulever légèrement dans les airs et la collant contre mon torse encore balafré par l’éveil douloureux d'un enfant qui refuse de vivre dans un cauchemar, mais qui voit le jour dans un monde nouveau, gouverné par l'espoir, où tout ses rêves peuvent devenir réalité.

Lentement je tourne, et la fait tourner avec moi, entamant une nouvelle danse où j'étais seul guide des pas, la portant comme si elle était un oiseau prêt à prendre son envol. Et c'est dos à la porte que j'entrais dans un endroit qui m'avait paru si vide auparavant, lorsque je parcourais ses étendues seul comme un martyr.

Le jardin de l'arche, aux innombrables fleurs teintées d'une multitude de couleurs chatoyantes, à l'herbe si verte qu'elle ferait pâlir d'envie les mortels, aux allées florissantes bordées de buissons finement taillés et d'arbres qui levaient leurs bras vers les yeux, comme si ils souhaitaient l'atteindre à l'instar de la tour de Babel.

Je reposais doucement mon aimée sur le sol, après avoir pris une grande inspiration pour m’imprégner de la flagrance de ce lieu majestueux, avant de lui désigner les environ d'un mouvement d'une main grise aux ongles noirs.

« Cet endroit m'avait manqué … je suis heureux d'y être revenu avec toi »

Puis avec un grand sourire presque infantile, rayonnant d'une joie pure, j'attrapais de nouveau la sienne et la porta à mes lèvres pour déposer un petit baiser sur son dos, avant de prononcer quelques mots d'une voix légèrement implorante, une grande première, pour ne pas dire une étrange nouveauté pour le duc insolent. Que pourrais je refuser à cette femme ? Absolument rien, elle me rendait fou … plus que je ne l'étais déjà.

« Agréerait-il à cette sublime lady de m'accompagner pour une promenade ? »
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Dietrich von Rozenkreuz
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Dietrich von Rozenkreuz
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Dietrich von Rozenkreuz
Sam 22 Aoû - 16:05
La plus grande ville du monde est une nécropole, un cimetière. Et ces derniers sont des plus beaux jardin qu'il puisse exister, aux couleurs bercées de ce qui n'en as plus.

Le jardin d'Eden était le plus beau de tous, né d'une terre pure, qui ne possédait encore nulle trace de mort, de décomposition, de corps enterrés, entassés au fil des millénaires. Mais désormais, et sur terre, tout les lieux demeurent cimetières et jardins funéraires, où poussent autant civilisations que forêts vierges.

Même ici, malgré les désirs de garder un lieu intact, le sol avait connu l'abreuvement du sang, le vent des hurlements..la déchirure de la perte.

Les chemins que la brise dessine dans les herbes vertes, semblent rappeler le vent d'est, ce vent faisant avancer le temps,ce Quadiym presque menaçant...

Tu sens ton amour se tendre contre ta chaire, se laisser emporter quelques instants par les regrets d'un passé révolus, qui le poussa loin de toi, des nuits et des années..C'est en danse qu'il t'emporte, t'épouse d'une étreinte encore chaude de douleur, jusque te reposer une fois le seuil passé.

Tes pieds retouchent lentement le sol, moelleux et réconfortant. Il s'agit autrefois d'une terre sacrée qui ne connaissait nulle douleur, nulle peine. Un lieux hors du temps, clos à ce qui faisait dorénavant les hommes.

L'air pur et fluide remplit ses poumons, l'emplit de l'atmosphère sacrée de l'Arche, remplace celui qu'il avait expiré sous les coups de la brutalité, et tu te sens enfin paisible; Comme si  la marche du monde reprenait la route qu'elle n'était sensé avoir quitté.
Un sourire s'épanouit sur tes lèvres pâles, et tes doigts effleurent tendrement la joue du grand enfant, redessinent les contours des lèvres qu'il pose sur la peau blanche de ta main. Une simple ballade...

Tu exhales un soupir attendri, tes yeux soulignant la beauté renouvelée de son visage, et lentement, tu abaisses le bras, glissant tes doigts parmi les siens, accrochant et agrippant sa poigne avant de retourner les yeux vers les bosquets respirant, dans leur verdure de paradis perdu, taché d'hémoglobine brunie par les années, fondue sans frontière dans la terre, mêlée, mélangée à l'atmosphère, ou jamais, les cris ne s'apaisent, mais se dissolvent en doux gémissement de tristesse, mélancolie douce et joyeuse qui bât au rythme des innombrables vie de ta famille.

Lentement, tes pas s'amorcent et le guident, les crissements et frémissements de ce qui se meurt sous les semelles de tes chaussures ne peuvent se faire entendre sous les bruissements mouvants des feuillages sous le vent, et tu ris en l'accompagnant. Tes mains étreignent les siennes, se coulent contre son épiderme si doux, antithèse de sa rage de vaincre, et de vivre.
Tu le couve des yeux, l'invitant à ta suite de tes gestes comme de ta voix qui se calque aux tourbillons de vie qui ensorcelle l'atmosphère d'oxygène plus pur que tout autre.


« -...Notre vie ne sera qu'une promenade, toi et moi, Might..plus jamais la paix de ce lieu ne sera entaché..et..plus jamais, nous ne seront séparés.. »


Ce sont comme des vœux d'église, si ce n'est que la votre est la première de toute, absoute de toute architecture autre que le Sacré lui-même. Empreinte de la même éternité que la votre, veillant sur des vies, des sommeils , et des rêves que lesquels tu veilles..et dont la réalité est maintenant, autant tienne, que Sienne.
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Road Kamelott
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